Comment Retrouver Un Historique Effacé Sur Téléphone

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André Isaac, dit Pierre Dac, officiellement André Pierre-Dac à partir de 1950, né le 15 août 1893 à Châlons-sur-Marne^{[note 1]} et mort le ix février 1975 dans le 17^east arrondissement de Paris, est un humoriste et comédien français. Il a également été, pendant la Seconde Guerre mondiale, une figure de la Résistance contre l'occupation de la French republic par l'Allemagne nazie grâce à ses interventions sur Radio Londres.

Créateur dans les années 1930 du journal humoristique Fifty'Bone à moelle, Pierre Dac est notamment l'inventeur du Schmilblick, un objet « rigoureusement intégral, qui ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout ». Il popularise également 50'expression « loufoque », formée à la façon du louchébem. Il est également inventeur du biglotron, et de la célébrissime recette de la confiture de nouilles^[1].

Après la guerre, il constitue un fameux duo humoristique avec Francis Blanche, et conçoit et anime les populaires séries radiophoniques Malheur aux barbus, puis Signé Furax et enfin, Bons baisers de partout.

Biographie [modifier | modifier le code]

Jeunesse et début de carrière [modifier | modifier le code]

Pierre Dac est issu d'une modeste famille juive d'Alsace, originaire de Niederbronn-les-Bains et installée après la défaite de 1870 à Châlons-sur-Marne, où le père Salomon Isaac est boucher et la mère, Berthe Kahn, femme au anteroom. Il naît dans cette ville au 70, rue de la Marne^{[note ii]}. Le jeune André a trois ans lorsque Salomon saisit l'occasion d'ouvrir une boucherie au détail à Paris et la famille south'installe rue Caulaincourt. Bon élève doué pour les farces, avec des dons artistiques, ses parents lui donnent des cours de violon tandis qu'ils destinent son grand frère Marcel à reprendre la boucherie familiale^[2].

Mobilisé en août 1914 au lendemain de son vingt-et-unième anniversaire, il revient du front quatre ans plus tard avec deux blessures : united nations éclat d'obus lui raccourcit de douze centimètres le bras gauche le ten mai 1915, un autre le blesse à la cuisse en 1916^[three] ^, ^[4] ^, ^[5] ^, ^[6] ^, ^[7]. Selon lui, son frère Marcel aurait été tué à l'âge de 28 ans, le 8 octobre 1915, pendant la bataille de Champagne, fauché par un obus allemand^[8]. Toutefois, selon les documents officiels, Marcel Isaac n'a pas été tué par united nations obus, mais est mort d'une embolie, « maladie aggravée au service » à l'hôpital de Bussy-le-Château, et north'est donc pas considéré comme « mort cascade la France », bien qu'il soit mort alors qu'il était toujours enregistré en tant que militaire en activité^[9]. Cependant, après vérification, l'inscription « Mort cascade la French republic » est bien gravée sur la tombe et celle-ci, attestée par une photographie, était encore lisible en 2010^[x].

Après la Première Guerre mondiale, Pierre Dac vit de petits métiers à Paris, coursier, chauffeur de taxi, homme-sandwich. Dans les années 1920, il est chansonnier dans divers cabarets, notamment La Muse rouge et La Vache enragée dès 1922. Il rencontre en 1923 le chansonnier Roger Toziny qui le strength à auditionner pour vaincre sa timidité et lui trouve son pseudonyme « Dac » en référence à ses dons de chansonnier d'actualités tout en rappelant la terminaison de son nom Isaac^[11].

En 1925, il se produit à La grande fête inaugurale de la Chanson des Insurgés, à la salle de l'Utilité publique, boulevard Blanqui à Paris. Cette fête est organisée par le periodical L'Insurgé de l'anarchiste André Colomer.

Le 8 janvier 1929, il épouse Marie-Thérèse Lopez, mariage qui se révèle une erreur. Pierre Dac se produit dans les années 1930 au Théâtre du Coucou, au Théâtre de 10 Francs, au Casino de Paris, aux Noctambules et à La Lune rousse de Montmartre, où il rencontre en 1934 la comédienne Dinah Gervyl (1909-1987) (de son vrai nom Raymonde Faure), sa future seconde épouse. René Sarvil lui écrit de nombreux textes qu'il débite d'une voix volontairement monocorde. En 1935, il crée une émission humoristique de radio, La Course au Trésor, et en anime une autre, La Société des Loufoques, qui remportent un k succès^[12].

L'Os à moelle [modifier | modifier le code]

Le 13 mai 1938, il fonde L'Os à moelle, organe officiel des loufoques, une publication humoristique hebdomadaire au nom inspiré par François Rabelais et par son père boucher (le mot loufoque vient de l'argot des bouchers, le louchébem, et signifie fou). Elle a pour collaborateurs le chansonnier Robert Rocca, les dessinateurs Jean Effel, Roland Moisan, etc. Dès son premier numéro, le journal annonce la constitution d'united nations « Ministère loufoque », dont les portefeuilles sont distribués « au Poker Dice ». Ses petites annonces — dont la plupart sont rédigées par Francis Blanche, qui débute — vendent de la pâte à noircir les tunnels, des porte-monnaie étanches pour argent liquide, des trous pour planter des arbres,etc. En raison de l'avancée allemande, fifty'hebdomadaire — dès l'origine très anti-hitlérien — cesse de paraître après 109 numéros, le 7 juin 1940 ^[13]. L'équipe du journal est contrainte de quitter Paris alors sur le point d'être occupé. Il reparaîtra épisodiquement en 1945-1946, puis vers 1965, avec de nouveaux talents, comme René Goscinny (Les aventures du facteur Rhésus) et Jean Yanne (Les romanciers savent plus causer français en écrivant).

Radio Londres [modifier | modifier le lawmaking]

Plaque du 42, boulevard de Strasbourg à Toulouse, où est réfugié Pierre Dac de 1940 à 1941.

Réfugié en 1940 au 42, boulevard de Strasbourg à Toulouse avec Fernand Lefèbvre, futur pilote de la France libre^{[note 3]}, Pierre Dac décide de rejoindre Londres en novembre 1941, mais il est arrêté lors de sa tentative de traversée des Pyrénées et incarcéré le 16 novembre 1941 à la Carcel Modelo (prison modèle) de Barcelone^[xiv] pendant quatre mois. Il est ensuite remis aux autorités françaises de la zone libre, à sa demande, et il est transféré à la prison house de Perpignan le 6 mars 1942 ^[15], où il ne reste qu'united nations mois grâce à united nations jugement très bienveillant^[sixteen].

Au printemps 1943, Pierre Dac tente à nouveau sa chance en essayant de rejoindre en train le Portugal, via l'Espagne, sous une fausse identité canadienne^[17]. À nouveau arrêté le 18 mai, il est incarcéré à la prison house de Valencia de Alcántara, dans le sud du pays^[18]. Un projet éventé d'évasion lui vaut un transfert le 4 juin à Cáceres, en Estrémadure^[19].

Il finit par être échangé contre quelques sacs de blé et des fûts d'essence, grâce à des négociations entre Espagnols et Britanniques sous la houlette de la Croix-Rouge française^[twenty]. Il quitte ainsi l'Espagne pour le Portugal le 29 août 1943 et rejoint Alger puis Londres, où il est emmené en avion le 12 octobre, pour y rejoindre fifty'équipe « Les Français parlent aux Français » de Radio Londres^[21].

Il intervient cascade la première fois le xxx octobre 1943 ^[22]. À l'antenne, il parodie des chansons à la mode (Les Gars de la marine devenant « Les gars de la Vermine », Ça fait d'excellents Français, Horst-Wessel-Lied) pour brocarder le gouvernement de Vichy, les collaborationnistes et le régime nazi. Il a été, parmi d'autres, la voix du refrain célèbre de Jean Oberlé « Radio-Paris ment, Radio-Paris ment, Radio-Paris est allemand » sur l'air de La Cucaracha, les paroles de couplet étant fifty'œuvre de Maurice Van Moppès. Enthousiasmé par ce slogan efficace, Jacques Duchesne, le directeur de l'émission, décida de le placer en générique de l'émission^[23].

Fait unique, Pierre Dac a été nommé, en tant que civil, membre d'honneur du Groupe Lorraine, alors que ce groupe n'était composé que de militaires des forces françaises aériennes stationnées au Royaume-Uni. Il a reçu cette nomination honorifique à la suite d'un déjeuner bien arrosé et qui lui fit oublier de participer à une émission de radio de la BBC prévue cet après-midi-là, son seul manquement durant la guerre^[24].

Lorsque, le 10 mai 1944, Philippe Henriot, sur Radio-Paris, s'en prend à Pierre Dac en évoquant ses origines juives et en mettant en doute son intérêt cascade la France, demandant « La France, qu'est-ce que cela peut bien signifier pour lui ? », l'humoriste lui répond le lendemain sur Radio-Londres dans un discours lapidaire baptisé « Bagatelle sur united nations tombeau »^[25], dans lequel il déclare que son frère Marcel, mort au front end lors de la Première Guerre mondiale, porte bien sur sa tombe l'inscription « Mort pour la French republic »^[26], alors que sur celle de Philippe Henriot on écrirait « Mort pour Hitler, fusillé par les Français ». Une réponse prémonitoire, puisque Henriot est abattu par la Résistance quarante-huit jours plus tard^[27].

Après-guerre [modifier | modifier le lawmaking]

Annonce pour La Nuit des Evadés de France.

À la Libération, il rentre à Paris où il se réinstalle avec Dinah Gervyl (épousée le six octobre 1944) au 49 avenue Junot (à deux pas de son domicile, sera baptisée la rue Pierre-Dac en 1995^[28]). Il devient membre du comité d'épuration des artistes^[29]. Fidèle à ses engagements patriotiques il se produit, le 22 mars 1946 au Palais de Chaillot à la fois comme artiste et évadé, à la « Nuit des Évadés de France », gala de bienfaisance organisé par l'Union des évadés de France sous la présidence effective du Général de Lattre^[30].

Pierre Dac prend officiellement le nom d'André Pierre-Dac à partir de 1950^[31].

Il est reçu apprenti à la loge « Les Compagnons ardents » de la Grande Loge de France le 18 mars 1946 puis élevé au grade de compagnon le 3 mars 1947. Il quitte sa loge le 26 septembre 1955 et rédigera une parodie de rite maçonnique devenue célèbre dans la franc-maçonnerie française^[32], Grande Loge des Voyous, Rituel du Premier Degré Symbolique ^[33]. Il réalisera des entretiens radiophoniques d'anthologie en Autriche, notamment avec la cinéaste Leni Riefenstahl pour la RDF^[34]. En 1948, il revient au cabaret et surtout au Théâtre des Trois Baudets où Jacques Canetti le produit dans le spectacle Ça va - Ça va pas. Ce spectacle fait identify à la revue 39,v° entièrement écrite par Pierre Dac, qui se joue à guichets fermés pendant 440 représentations. À l'équipe de Pierre Dac, s'ajoute un jeune humoriste inconnu, Robert Lamoureux, dont les spectaculaires débuts provoquent l'enthousiasme du public. Le soir où 50'on fête la 400ème de 39,5° aux 3 Baudets, Francis Blanche alors comédien dans la troupe des Branquignols rencontre Pierre Dac. Ce coup de foudre amical et professionnel marque leurs débuts à la scène et à la radio. Le 21 avril 1950 débute le spectacle Sans Result qu'ils joueront un an et demi devant des salles combles. Ils se produiront ensuite à fifty'ABC, à l'Olympia, à l'Alhambra, au Théâtre de Paris, au Théâtre Édouard Vii,etc.

Il forme avec Francis Blanche un duo mythique auquel on doit de nombreux sketches dont le fameux Le Sâr Rabindranath Duval (1957) qui sera créé au Théâtre des Trois Baudets, et united nations feuilleton radiophonique en 213 épisodes, Malheur aux barbus, diffusé de 1951 à 1952 sur Paris Inter, et publié en librairie cette même année ; personnages et aventures sont repris de 1956 à 1960 sur Europe one, sous le titre Signé Furax (soit i 034 épisodes). Ces émissions sont suivies par de nombreux auditeurs. Plus tard, entre 1965 et 1974, en compagnie de Louis Rognoni, Pierre Dac crée la série Bons baisers de partout, une parodie en 740 épisodes des séries d'espionnage des années 1960, diffusée sur French republic Inter.

Surnommé par certains le « Roi des Loufoques », pour son aptitude à traquer et créer 50'absurde à partir du réel, orateur pince-sans-rire et persifleur hiératique, il manie aussi bien les calembours^[35] que les aphorismes^[36].

Son texte Le Biglotron est souvent cité par les amateurs de dépédantisation. Il est l'inventeur du Schmilblick, qui « ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout. Il est rigoureusement intégral ! » Le mot « Schmilblick » sera repris par Guy Lux pour un jeu télévisé (hérité de La Chose de Pierre Bellemare sur Radio-Luxembourg), puis par Coluche pour une parodie de ce jeu restée célèbre.

Publicité de 50'École universelle parue dans L'Os à moelle du 2 juillet 1964.

Dépressif, il tente à quatre reprises de se suicider aux barbituriques ou en s'ouvrant les veines entre 1958 et 1960^[37] ; en janvier 1960, sa femme le retrouve inanimé dans sa baignoire : il s'était ouvert les veines aux poignets. Après son hospitalisation, sa femme explique que depuis son retour en French republic à la Libération, son mari souffre de ne pas retrouver toutes les amitiés sur lesquelles il comptait et qu'il northward'a connu sur ce plan que des déceptions, à l'exception de son ami Francis Blanche^[38].

Candidature présidentielle [modifier | modifier le code]

Entre 1964 et 1966 il fait reparaître Fifty'Os à moelle. Le xi février 1965, Pierre Dac se déclare candidat à la présidentielle avec le MOU (Mouvement ondulatoire unifié) lors d'une conférence à 50'Élysée-Matignon. Le Tout-Paris est là et applaudit le canular. Les flashs crépitent et Pierre Dac fait son entrée avec ses catcheurs et gardes du corps : il désigne Jacques Martin Premier ministre, et deux de ses futurs ministres, Jean Yanne et René Goscinny^[39].

Après cette journée, il fait paraître régulièrement des discours grandiloquents du Mouvement ondulatoire unifié dans L'Os à moelle, avec le slogan « Les temps sont durs, votez MOU ! » ^[40].

Au début de fifty'été, sa popularité toujours montante inquiète les autres candidats et à l'Élysée, on trouve que « la plaisanterie a assez duré ». Un conseiller du Général de Gaulle, en septembre, par téléphone lui demande de se retirer. Par fidélité pour celui qui fut le chef de la France libre, l'ancien résistant accepte sans attendre. Pierre Dac justifie son retrait par la formule : « Je viens de constater que Jean-Louis Tixier-Vignancour briguait lui aussi, mais au nom de l'extrême droite, la magistrature suprême. Il y a donc désormais, dans cette bataille, plus loufoque que moi. Je due north'ai aucune chance et je préfère renoncer^[40] ^, ^[41]. »

Fin de vie et mort [modifier | modifier le code]

En 1972, un square et une statue sont inaugurés en son honneur, à Meulan. Devant les photographes, Pierre Dac et Francis Blanche posent à leur manière, c'est-à-dire en satisfaisant un besoin naturel sur le monument.

Malgré le succès, Pierre Dac est resté united nations homme modeste, presque effacé. Fumant depuis l'âge de 18 ans, il meurt en 1975 d'united nations cancer du poumon^[42] dans la plus grande discrétion. « La mort est united nations manque de savoir-vivre », avait-il repris d'Alphonse Allais.

Il est incinéré et ses cendres déposées au colombarium du cimetière du Père-Lachaise.

Jacques Pessis est le « neveu adoptif », biographe et légataire universel de Pierre Dac^[43].

Liste des œuvres [modifier | modifier le code]

Cette liste des œuvres de Pierre Dac a été établie par Baudime Jam, « chercheur de trésors dacquiens^[44] » pour le site^[45] du judaïsme d'Alsace et de Lorraine et cascade Wikipédia.

Romans et essais [modifier | modifier le code]

Ici Londres : Pierre Dac vous parle, Pierre Trémois (1945)
Du Côté d'Ailleurs, André Martel (1953)
Les Pédicures de l'Âme, André Martel (1954)
Le Jour le plus c..., Juilliard (1967)
Les Plombiers zingueurs, Robert Morel (1968)
Un Français libre à Londres en guerre, France Empire (1972) ; rééd. Libretto, 2020
Les Pensées - Le Cherche midi (1972)
Essais, maximes et conférences - Le Cherche midi (1978)
Du Côté d'Ailleurs et réciproquement, Presses Pocket n°1745 (1979)
Dialogues en forme de tringle - Le Cherche midi (1981)
Arrière-pensées - Le Cherche midi (1998)
Du Côté de Partout - Autobus (2009)

Feuilletons radiophoniques [modifier | modifier le code]

Informations secrètes du colonel de Guerlasse (1963-65) sur R.T.F. Inter

Avec Francis Blanche [modifier | modifier le code]

Faites chauffer la colle ! (1949)
Le Parti d'en rire, éd. du Cherche midi (1983)

Cycle Les Aventures de Furax [modifier | modifier le code]

Malheur aux barbus, André Martel (1952)
Confession de Furax, André Martel (1952)
Mangez de la salade, André Martel (1952)
Les Barbus de l'espace, André Martel (1953)

Bike Signé Furax [modifier | modifier le code]

Le Boudin sacré, Édition Spéciale (1971-72)
La Lumière qui éteint, Édition Spéciale (1971-72)
Crimée... châtiment !, Édition Spéciale (1971-72)
Malheur aux Barbus, Édition Spéciale (1971-72)
L'Atoll Anatole, Édition Spéciale (1971-72)
M... comme, Édition Spéciale (1971-72)
Le Gruyère qui tue, J.C. Lattès (1976)

Avec Louis Rognoni [modifier | modifier le lawmaking]

- Bicycle Bons baisers de partout :

Opération Tupeutla, Le Cherche midi (1982-84)
Opération Psychose-toujours, Le Cherche midi (1982-84)
Psychose de plus en plus, Le Cherche midi (1982-84)

Théâtre [modifier | modifier le lawmaking]

39,five (1949)
Sans issue co-écrit avec Francis Blanche (1950)
Autre chose !, Fantaisie satirique en two actes, co-écrit avec Francis Blanche et Roger Pierre (1951)
Chair de poule, opéra show en ii actes et ten tableaux, co-écrit avec Robert Rocca (1955)

Chansons et monologues [modifier | modifier le code]

Chanson des Babus
Une histoire à l'eau - "Les Chansons de la Butte" (n^o 2, 1923)
Lettre à Fortugé - "Les Chansons de la Butte" (northward^o 3, 1923)
Par abonnement - "Les Chansons de la Butte" (n^o 5, 1924)
Réception présidentielle - "Les Chansons de la Butte" (north^o 8, 1924)
Superstitions - "Pandore" (north^o five, septembre 1934)
On est internet - "Pandore" (due north^o 7, décembre 1934)
Polka-Picon - Éd. Picon
Les Chansons de Pierre Dac à la Radio de Londres - Éd. Masspacher (1945)
La Valse en Mineur - Éd. Marcel Labbé
Printemps - Éd. Jean Picot
Ça manque d'ambiance - Éd. Jean Picot
Hommage au mage - Éd. Jean Picot
Cent Histoires de fous et folles histoires - Éd. Théâtrales
Mangeons ! - Éd. Herpin
Un Président républicain - Éd. Herpin
Le plus young man jour de la vie - Éd. Herpin
Quand on a quinze ans - Éd. Herpin
Les Pèlerins de Grenoble - Éd. Herpin
Le Jour de la Révolution - Éd. Herpin
La Combinaison Mayer - Éd. Herpin
Méprise du Schorer - Éd. Herpin
Ne retiens rien - Éd. Herpin
Inauguration car - Éd. Herpin
Par abonnement - Éd. Herpin
Chez le tailleur - Éd. Herpin
À l'ombre de Vespasien - Éd. Herpin
Les Fumistes - Éd. Herpin
La grosse Anguille et la petite Moule - Éd. Herpin
Biographies ministérielles - Éd. Herpin
École de la politique - Éd. Herpin
Politique et mathématiques - Éd. Herpin
La Journée d'un piéton - Éd. Herpin
Les cochons de payants - Éd. Herpin
La Visite au malade - Éd. Herpin
Borah pro nobis - Éd. Herpin
À quoi rêvent les vaches - Éd. Herpin
On est heureux - Éd. Herpin
Prière sur Montmartre - Éd. Herpin
Si c'est pour ça - Éd. Herpin
Ça c'est fini - Éd. Herpin
Le Péril rouge - Éd. Herpin
Ne vous arrêtez pas - Éd. Herpin
Le Jugement dernier - Éd. Herpin
La Der' des Der' - Éd. Herpin
Non, merci - Éd. Herpin
Hoch - Éd. Herpin
Ça va mieux - Éd. Herpin
Prière fiscale - Éd. Herpin
Le Cheik sans provisions - Éd. Herpin
Les Points d'un pacte - Éd. Herpin
Fantaisie - Éd. Herpin
Napoléon le Petit - Éd. Herpin
Nous sommes maudits - Éd. Herpin
Chiqué festival - Éd. Herpin
Le siècle des anormaux - Éd. Herpin
Les Parents - Éd. A. Molinier
Les Énervés - Éd. A. Molinier
On northward'sait pas c'qu'on veut - Éd. A. Molinier
Five'là le bon vieux temps - Éd. A. Molinier
C'est pas rigolo d'être drôle - Éd. A. Molinier
On manque d'Idéal - Éd. A. Molinier
On se prépare - Éd. A. Molinier
Le Martyre de l'Eunuque - Éd. A. Molinier
Jour sans faste - Éd. A. Molinier
Le Timide - Éd. A. Molinier
Une tempête sous united nations gilet de flanelle - Éd. A. Molinier
Le mystère de la cancoillotte et la vengeance du yaourt - Éd. A. Molinier
Le Permis de Conduire - P. Beuscher
À ce moment, on vous appelle au téléphone - Éd. France Musique
C'est trop tard - Éd. France Musique
J'peux signal vous fifty'dire - Éd. France Musique
Moi je vous fifty'dis - Éd. French republic Musique
United nations Retour difficile - Éd. France Musique
Neuf chansons érotico-philosophiques - Musique : René Landemar

Articles et textes divers [modifier | modifier le code]

Essai sur le français moyen - "Humour et poésie de Montmartre" (sans date)
J' suis pas poli - "Humour et poésie de Montmartre" (sans date)
Le Bout loufoque - "Le Tour de French republic" (numéro spécial de L'Auto - 1936)
Pensées et maximes à la manière de La Bruyère - "Les vraies Richesses" (northward^o i, février 1939)
Ça me fait tout drôle... - "France" (northward^o 986, 29 octobre 1943)
Impressions d'Angleterre - "Accord" (novembre 1943)
Message météorologique de l'Ordre Nouveau - "Accord" (n^o five, 1943-44)
Essai sur la cuisine anglaise - "French republic" (xv décembre 1943)
Compte de Noël - "France" (décembre 1943)
À vos poches, à vos pubs - "French republic", (février 1944)
Alerte au Spam - "France", (24 mars 1944)^[46]
Parlez-nous des Allemands - "Le Courrier de l'air", (4 mai 1944)
De quelques effets de la guerre des nerfs - "France", (xvi mai 1944)
Commentaire sur l'avion sans pilote ou V1 - "France", (twenty juin 1944)
Chansons - "La France libre" (due north^o 45 - xv juillet 1944)
J'ai dit tout haut de Londres ce qu'on pensait tout bas en France - "Résistance" (n^o 29 - five septembre 1944)
Au secours de la victoire ! - "Franc tireur" (n^o 75 - 30 septembre 1944)
De 50'eau de Vichy à l'eau de Cologne - "La French republic au gainsay" (n^o 66, 15 mars 1945)
Du stalag à Paris avec Eux - "Bespeak de Vue" (n^o 1, 23 mars 1945)
Dans Karlsruhe avec la première armée française - "La France au Combat", (12 avril 1945)
De l'illégalité du don de la personne - "Signal de Vue" (due north^o xiii, 15 juin 1945)
À l'ombre des blaireaux en fleurs - "La French republic au combat" (due north^o 76, 9 août 1945)
Tout peut toujours aller plus mal - "Le Clou" (due north^o 8, 30 novembre 1945)
Interviews de fin d'année - "Le Clou" (northward^o eleven, 21 décembre 1945)
Je vous demande pardon - "Le Clou" (due north^o 22, 8 mars 1946)
Lumineuse explication de la loi électorale - "Le Clou" (n^o 28, 19 avril 1946)
Finissons-en avec la Résistance - "Le Clou" (due north^o 34, 31 mai 1946)
Pour venger les victimes de la Libération - "Le Clou" (n^o 37, 4 juillet 1946)
Les Enquêtes de l'Inspecteur Poileau-Luc - "V" (1947)
Le Salon de l'Automobile - "La Belle France" (due north^o 76 - octobre 1947)
Les origines du courrier du cœur - "France Hebdo" (n^o 265, 19 avril 1949)
Les entresols de Saint-Germain-des-Prés - "France Hebdo" (northward^o 266, 26 avril 1949)
Entre chien et loufoques (avec F. Blanche) - "Radio Inter" (due north^o 6, 10 mai 1950)
rubrique Des victimes vous parlent - "Détective" (n^o 265, 30 juillet 1951)
Paris-Parade d'azur - "Samedi soir" (north^o 321, 25 août 1951)
Du droit d'être un salaud - "Le Droit de vivre" (février 1953)
On dansait dans les carrefours - "Fifty'Aurore" (19 décembre 1953)
Bon sens ne peut mentir - "Paris variétés" (north^o thirteen, 1er juin 1954)
Quand les Français parlaient aux Français - "Les Policiers français dans la Résistance" (CNPACR, 1964)
Le saladophisme - "Les censurés sociaux" (Editions du Scorpion, 1964)
Hommage au Crapouillot - "Le Crapouillot" (n^o 66, mai 1965)
Après la bataille - "Plexus" (northward^o 1, 1966)
Présentez armes ! - "Blagues" (due north^o 316, 15 juillet 1967)
Songe d'une nuit de brouillard - "Droit et Liberté" (north^o 277, 1er décembre 1968)
Le Ministère du moral - "Noir et Blanc" (n^o 1239, 26 décembre 1968)
Pensées choisies - "Poésie i" (n^o 22, février 1972)
Du Dac au Dac (interview) - "Privé" (northward^o 6, avril 1974)
50'fine art et la manière d'être plus jeune - "Le Hérisson" (n^o 1473, 11 juillet 1974)
Réflexions sur TXT - "Le Pont de fifty'épée" (n^o 44-45, 1970 & n^o 63-64, 1978)

Préfaces [modifier | modifier le code]

Les Mémoires de Péhun (Pierre Beauvois) - Éd. Goélette (ca. 1945)
Une Bombe à tout casser (Guy Verdot) - Éd. Pierre Fanlac (1946)
Une Heure avec Jean Rigaux - Éd. Raoul Solar (1948)
Fifty'Éminence verte (Roméo Carles) - Éd. Raoul Solar (1950)
Souvenirs d'united nations homme poids (André Gabriello) - Éd. Rabelais (1950)
Klette (Léo Campion) - Éd. Calmann Levy (1955)
Quand les pigeons auront des crocs (André Delcombre) - chez l'auteur (1962)
Salut mon pope ! (San-Antonio) - Éd. Fleuve Noir (1966)
Annotate ne pas les manquer (Jérôme Favard) - Éd. Roger Maria (1972)
Tête à tête avec le cinéma (François Solo) - Éd. des Egraz (1973)
Guide de l'étudiant parisien (Grandgousier) - chez 50'auteur (1974)
Humour noir et homme en blanc (Claude Serre) - Éd. Roger Maria (1978)

Périodiques [modifier | modifier le code]

50'Bone à moelle (109 numéros du 13 mai 1938 au 7 juin 1940)
L'Os Libre (102 numéros du 11 octobre 1945 au 15 octobre 1947)
Le Clou (37 numéros du 12 octobre 1945 au 4 juillet 1946) : membre du comité de rédaction
Fifty'Os à moelle (73 numéros du 23 avril 1964 à février 1966)

Après 1975 (réédition de textes) [modifier | modifier le lawmaking]

Le Nouvel Os à moelle hebdo (32 numéros du 4 février au 8 septembre 1976)
Mensuel fifty'Bone (five numéros de mai à octobre 1976)
Almanach de l'Bone à moelle (5 numéros de 1978 à 1982)
L'Bone à moelle bimestriel (3 numéros de février à août 1982)
L'Os à moelle hebdo (xvi numéros du 15 mars au 9 août 1984)

Divers [modifier | modifier le code]

Préface, commentaires du mode d'emploi, et textes des cartes du jeu de société La Bête noire de l'automobiliste - années 1950^[47]
« La Leçon de mashed-potatoes », Sonorama (northward^o 42, juillet 1962)

Théâtre [modifier | modifier le code]

1936 : Phèdre (à repasser) de Pierre Dac, Casino de Paris
1954 : Chair de poule de Pierre Dac et Robert Rocca, Théâtre Daunou
1955 : La Petite Maison de thé de John Patrick, mise en scène Marguerite Jamois, Théâtre Montparnasse
1956 : Le mari ne compte pas de Roger Ferdinand, mise en scène Jacques Morel, Théâtre Édouard VII
1962, 1963 : Pas d'usufruit pour tante Caroline de Frédéric Valmain, mise en scène Jean Dejoux, Théâtre Tristan-Bernard
1966 : 50'Instruction de Peter Weiss, mise en scène Gabriel Garran, Théâtre de la Commune

Filmographie [modifier | modifier le lawmaking]

Cinéma [modifier | modifier le lawmaking]

1930 : Degreve d'André Chotin - courtroom métrage, également scénariste -
1932 : Le Bidon d'or de Christian-Jaque
1932 : Les Gaietés de l'escadron de Maurice Tourneur
1932 : Le Fada de Léonce-Henri Burel - courtroom métrage -
1932 : Y'a erreur (ou Gilberte exagère) de Joseph Tzipine - moyen métrage -
1933 : Les Deux Monsieur de Madame d'Abel Jacquin et Georges Pallu
1934 : Poliche d'Abel Gance
1934 : Voilà Montmartre de Roger Capellani
1935 : Juanita de Pierre Caron
1939 : Le Order des fadas d'Émile Couzinet
1940 : Les Surprises de la radio de Marcel Aboulker - également une participation au scénario -
1949 : Dernière heure, édition spéciale de Maurice de Canonge
1951 : Une fille à croquer de Raoul André
1956 : La Polka des menottes de Raoul André
1960 : Les Pique-assiette de Jean Girault
1961 : La Belle Américaine de Robert Dhéry et Pierre Tchernia
1962 : Césarin joue les étroits mousquetaires d'Émile Couzinet
1962 : Le Gorille a mordu l'archevêque de Maurice Labro
1964 : Allez France ! de Robert Dhéry et Pierre Tchernia
1967 : Ne jouez pas avec les Martiens d'Henri Lanoë
1967 : Le Petit Baigneur de Robert Dhéry
1973 : Par ici la monnaie de Richard Balducci
1973 : Le Trio infernal de Francis Girod

coauteur, avec Fernand Rauzéna, de fifty'adaptation française du moving-picture show Hellzapoppin de H. C. Potter.

Télévision [modifier | modifier le lawmaking]

1956 : La Famille Anodin (série télévisé)
1964 : L'Abonné de la ligne U de Yannick Andréi (série Telly)
1969 : Au théâtre ce soir : Le mari ne compte pas de Roger-Ferdinand, mise en scène Jacques Morel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny

Hommages [modifier | modifier le code]

Au théâtre [modifier | modifier le code]

Le Parti d'en rire, hommage à Pierre Dac, interprété par Viriginie Visconti, Jacques Pessis et Aurélien Noël. Mise en scène : Jacques Mailhot, Jean Roucas. Écrit par Jacques Pessis, 2012

A la télévision [modifier | modifier le code]

La Guerre des ondes (Radio Londres 1943-1944), téléfilm de Laurent Jaoui, 2014, 95 min, avec Jean-Yves Lafesse dans le rôle de Pierre Dac.

Exposition [modifier | modifier le code]

Le Musée d'Fine art et d'Histoire du judaïsme présente dès le 15 octobre 2020 l'exposition « Pierre Dac. Du côté d'ailleurs ». Il southward'agit de la première exposition consacrée à l'œuvre et à la vie de Pierre Dac. Plus de 250 documents issus des archives familiales, extraits de films, émissions télévisées et radiophoniques sont présentés^[48].

Monuments et bâtiments [modifier | modifier le lawmaking]

Pierre Dac a inauguré lui-même sa propre statue dans le foursquare Pierre-Dac, situé à Meulan, ville des Yvelines^[49].

L'espace Pierre Dac est une salle de spectacle située rue des Fripiers à Châlons en Champagne

Odonymes [modifier | modifier le lawmaking]

La rue Pierre-Dac, est une rue située dans le quartier des Grandes-Carrières du xviii^east arrondissement de Paris ;
la rue Pierre-Dac est située à Clichy, commune française du département des Hauts-de-Seine ;
La rue Pierre-Dac est située à Tomblaine, district située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région One thousand Est ;
La rue Pierre-Dac est située au Mans, préfecture du département de la Sarthe^[50] ;
Le rond-betoken Pierre Dac est situé à Toul, sous-préfecture de la Meurthe-et-Moselle^[51].

Distinctions [modifier | modifier le lawmaking]

Notes et références [modifier | modifier le code]

Notes [modifier | modifier le lawmaking]

↑ Aujourd'hui Châlons-en-Champagne.
↑ Un bas relief de Richard Bruyère y est apposé.
↑ Une plaque commémorative fifty'atteste : « Ici ont vécu en 1940-41 Pierre Dac speaker de la France Libre et Fernand Lefèbvre commandant du groupe Lorraine et d'ici s'évadèrent en novembre 1941. »

Références [modifier | modifier le code]

↑ https://world wide web.youtube.com/sentry?v=1smCL5iQFQk
↑ Roger Berg, Chalom Chemouny et Franklin Didi, Guide juif de France, Éditions Migdal, 1971, p. 397 .
↑ https://www.radiofrance.fr/franceinter/peintres-ecrivains-scientifiques-que-faisaient-ils-pendant-la-grande-guerre-8474367 / consulté le 25 octobre 2022.
↑ https://world wide web.lemonde.fr/archives/article/1994/06/12/theatre-pierre-dac-monday-maitre-soixante-trois-au-theatre-national-de-chaillot-signe-furax_3819366_1819218.html / consulté le 25 octobre 2022.
↑ https://www.lalsace.fr/culture-loisirs/2021/02/09/9-fevrier-1975-deces-de-pierre-dac-le-comique-francais-qui-parlait-aux-francais / consulté le 25 octobre 2022.
↑ http://www.forum-militaire.fr/topic/18345-pierre-dac-le-chansonnier-de-la-france-libre/ consulté le 25 octobre 2022.
↑ https://journals.openedition.org/alsace/2037 / consulté le 25 octobre 2022.
↑ Pierre Dac, Drôle de guerre, Identify Des Editeurs, 2010, p. 8 .
↑ «Isaac Marcel Fernand, 27-09-1887 », sur Mémoire des Hommes (consulté le 5 juillet 2020) .
↑ Site l'atelier Ted et eux, page "Les Morts pour la French republic et les autres"
↑ Jacques Pessis 1992, Pierre Dac, monday maître 63, chapitre « Des débuts difficiles à la vache enragée, et réciproquement »..
↑ Pierre Dac, Drôle de guerre, Place Des Editeurs, 2010, p. 12 .
↑ L'Bone à moelle, textes réunis et présentés par Michel Laclos, éd. Julliard / Le livre de poche.
↑ Pessis 2008, p. xviii.
↑ Fabricio Cardenas, « Pierre Dac en prison à Perpignan en 1942. », 11 août 2014.
↑ Pessis 2008, p. 28.
↑ Pessis 2008, p. 31-32.
↑ Pessis 2008, p. 33.
↑ Pessis 2008, p. 34.
↑ Pessis 2008, p. 35.
↑ Pessis 2008, p. 37.
↑ Pessis 2008, p. 44.
↑ Jacques Pessis, Radio Londres, la guerre en straight, Albin Michel, 2014, p. 127 .
↑ Google Books, « Drôle de guerre par Pierre Dac ».
↑ « Bagatelle sur united nations tombeau », sur judaisme.sdv.fr.
↑ La tombe de Marcel Isaac, avec cette inscription, est visible au cimetière du Montparnasse à Paris.
↑ Henriot abattu par la résistance le 28 juin 1944, vidéo de ses funérailles nationales.
↑ Danièle Chadych et Dominique Leborgne, Le Guide du promeneur : 18e arrondissement, Parigramme, 2001, p. 119 .
↑ Andrex, On ne danse plus la java chez Bébert, autobiographie posthume, Presses de la Renaissance, 1989, p. 197 :

« Me voici donc devant la brochette du comité d'épuration, où je reconnais immédiatement Pierre Dac. »
↑ Ce soir, 17 mars 1946, p. two). |https://world wide web.retronews.fr/journal/ce-soir/17-mars-1946/19/2770823/2 Lire en ligne]).
↑ Acte de naissance n^o 339 du 16 août 1893, archives départementales de la Marne.
↑ M. Levy, «Pierre Dac, l'humour au Vitriol », Le journal de la Grande Loge de France, northward^o 83,‎ avril 2008 (ISSN1298-9010) .
↑ Texte complet de la Grande Loge des Voyous, Rituel du Premier Degré Symbolique.
↑ Document INA.
↑ Noms imaginés par Pierre Dac donnant lieu à calembours.
↑ Jérôme Garcin, «Pierre Dac président! », sur lexpress.fr, 9 février 1995 .
↑ Jacques Pessis, Pierre Dac, mon maître 63, Le Cherche Midi, 2012, p. 157 .
↑ L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, eighteen janvier 1960 : « Déçu par ses amis, Pierre Dac s'ouvre les veines. 50'artiste est hors de danger. »
↑ Site lejdd.fr, article de Thomas Libaot "Ces humoristes tentés par la politique", consulté le 26 décembre 2021.
↑ ^{a et b} Jérôme Garcin, Pierre Dac Président, L'Limited, 9 février 1995.
↑ Etienne Dubois, Jean Yanne, 50'camaraderie libre, City Edition, 2013, p. 61.
↑ Jacques Pessis, Pierre Dac, mon maître 63, Le Cherche midi, 2012, p. 324 .
↑ Pierre Dac et Jacques Pessis, La substantifique moelle de Pierre Dac. Le club des loufoques, 1937-1940, Éditions F. Bourin, 1994, p. 281 .
↑ Pessis 2008, « de Radio Londres à l'Os Libre », p. À préciser.
↑ Voir sur judaisme.sdv.fr.
↑ (fr) Alerte au spam ! de Pierre Dac, Association Enseignement Public & Informatique, février 2016.
↑ Voir sur jeuxsoc.fr.
↑ Musée d'Art et d'Histoire du judaïsme, «Pierre Dac : du côté d'ailleurs », sur world wide web.mahj.org, ten août 2020 (consulté le xix mai 2021) .
↑ Site Pierre Dac, folio "united nations discours de Pierre Dac".
↑ Plan du Mans et de la rue Pierre-Dac sur Street View.
↑ https://www.paperblog.fr/4328582/rond-signal-pierre-dac-a-toul-54/
↑ ^{a b c et d} Pierre Dac est mort Le Monde, 11 février 1975, consulté le 15 avril 2020

Voir aussi [modifier | modifier le code]

Bibliographie [modifier | modifier le code]

: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Biographie [modifier | modifier le code]

Jacques Pessis, Pierre Dac, monday maître 63, François Bourin, 1992 (ISBN2-87686-138-0) — rééditions Albin Michel, 1995, (ISBN2-226-07826-6) et Le Cherche midi, 2005, (ISBNtwo-7491-0152-two).

Anthologies [modifier | modifier le code]

L'Bone à Moëlle (vol. I), anthologie présentée par Michel Laclos, Éditions Julliard (2004)
Pierre Dac, anthologie présentée par Jacques Pessis, Seghers, 1977
Le Social club des loufoques, anthologie présentée par Jacques Pessis, Éditions Julliard, 1994, (ISBN978-two-260-01109-five)
Y'a du mou dans la corde à nœuds !, anthologie présentée par Jacques Pessis, Éditions Julliard 1995, (ISBNtwo-260-01329-5)
La Substantifique moelle de Pierre Dac, anthologie présentée par Jacques Pessis, Éditions Julliard, 1995, (ISBNii-260-01109-8)
Dico franco-loufoque, anthologie présentée par Jacques Pessis, Librio, 1998, (ISBN2-277-30128-0)
L'Os à moelle : 13 mai 1938 - 7 juin 1940, anthologie présentée par Jacques Pessis, Éditions Autobus, 2007, (ISBNtwo-258-07475-4)
Jacques Pessis, Drôle de guerre : 29 octobre 1946, Motorbus, 2008, 1184p. (ISBN978-ii-258-07828-4) .
Avec mes meilleures pensées, anthologie présentée par Jacques Pessis Le Cherche midi, 2010, (ISBN2-7491-1835-2)
Malheur aux barbus, anthologie présentée par Jacques Pessis, Éditions Motorbus, 2010, (ISBN978-ii-258-08439-1)
Romans complètement loufoques, anthologie présentée par Jacques Pessis, Éditions Motorcoach, 2013, (ISBN978-2-258-10155-five)
Pierre Dac (préf. Jacques Pessis), Un loufoque à Radio Londres : 29 octobre 1943 - 9 août 1945, Passenger vehicle, 2014, 175p. (ISBN9782258113848)

Ouvrages dédiés à Pierre Dac [modifier | modifier le code]

Jean-Paul Aymon, Tabenduick, Éditions maritimes, 1978.
Joseph Bialot, Vous prendrez bien une bière ?, Gallimard, 1997.
Lucien Jerphagnon, Le Petit Livre des citations latines, Tallandier, 2004.
Cabu, Les Pensées de Pierre Dac, Le Cherche midi, 2015.

Liens externes [modifier | modifier le lawmaking]